Hé oui... il semblerait bien que mon nouvel ami Jésus n'était rien de plus qu'une aventure... (voir blog précédent)
Moi qui me promettais, après ma dernière anecdote, de revenir vous raconter toutes ces petites choses cocasses qui pourraient peupler ma vie... Je me retrouve soudainement en panne d'inspiration.
Car oui, je dois l'avouer, semblerait bien que finalement, j'en ai pas de vie. Ou si j'en ai une, ben est plate en ostifi.
Bon... j'exagère un peu... mais à peine.
Où est cette extraordinaire aventure que je pourrais vous raconter, sur un ton humoristique et / ou tout plein de sagesse... hein? Youssé qu'elle est??
Ben, je vous annonce qu'une job à temps plein, c'est prenant.
Au cas où vous le saviez pas disons!
Voici quelques faits saillants (et apprentissage) de ma semaine, ma foi, plutôt ordinaire!
• J'ai appris que finalement, on est pas plus heureux d'apprendre que la personne qu'on trouve qu'elle a l'air pas propre, ben elle pue pour de vrai.
• J'ai aussi appris que, même en plein jour, certains parcs de Montréal pouvaient être peu recommandables.
• À cause du point précédent, j'ai appris que finalement, j'pas ben ben sociable et peut-être un brin parano! (mais bon, j'y tiens à ma sacoche! Faque j'prends pas de chance)
• Pour la première fois de ma vie, et sans faire d'efforts vraiment, j'ai vendu des affaires à du monde (affaires = agrumes / monde = collègues). Je songe à lâcher ma job afin d'aller faire fortune dans la revente de fruits importés!
• Jeudi, j'ai mangé du McDo... (aucun apprentissage... mais c'est aventureux pareil, quand on y pense)
Parlant de jeudi, ce fut probablement la journée où j'ai connu le plus d'action cette semaine. J'ai même décrété que l'univers conspuait contre moi. Ça lui arrive parfois, comme ça, pour rien.
J'étais déjà en retard de près de 1500 km pour mon changement d'huile, donc je vais chez mon ami le garagiste qui, d'ordinaire, aurait pû me faire sa p'tite job en un temps record, pendant mon heure de lunch.
Parlons-en de l'heure de lunch. C'est de sa faute si j'ai mangé du CrapDo... (pas à l'heure de lunch voyons, au garagiste... suivez un peu!)
Arrive au garage, passe la commande, sort pour fumer ma clope (et avoir peur de me faire voler ma sacoche au parc), reviens d'un pas rapide vers la sécurité du professionnel voiturier... On m'annonce qu'ils n'ont plus de filtres au mystérieux numéro qu'est le mien.
Oki... je reviendrai demain, merci et bonne journée.
Comment ça, t'as déjà vidé l'huile...? Calisse! Une demi-heure? D'accord.
Alors me voilà, prise pour ce qui a commencé par être 30 minutes (a fini par se transformer en 60) à lire les "Journal de Mourial" passés date qui trainaient là...
Après 18 chiens écrasés et les ti-bonzommes en couleur, une deuxième cigarette puis un appel au bureau pour avertir de mon retard, je me fais remettre mes clés sous paiement de facture ne témoignant aucune sympathie pour le stress et l'ennui endurés.
Hé ben!
Je suis déjà en retard, la solution la plus rapide me semble être la commande à l'auto... donc, McCrap! Mais, comme j'vous disais, l'univers était occupé à conspuer....... le sale!
Une commande qui aurait dû prendre quoi, un gros 2 minutes, s'est révélée prendre en fait près de 10 minutes......... DIX MINUTES BORDEL!
Mais bon..... il y a quand même un côté positif à tout cela!
Savez-vous que ça fait du bien sortir du bureau pour kek heures, en plein milieu d'une journée de travail, pour aller se perdre et oublier?
Je ne parle pas de boire (même si c'est ce que certains font). Juste sortir...
Personnellement, je vous recommanderais d'aller vous promener plutôt que de passer votre temps assis à respirer des vapeurs d'huile. Mais bon, chacun son trip!
Et voilà...... c'est ça mon aventure cette semaine.
Je vous souhaite vraiment que le week-end qui arrive m'apporte un peu plus que ça parce-que, bien honnêtement, je ne vois pas pourquoi vous reviendriez ici...
S'il n'arrive rien, je devrai me mettre à inventer des histoires ou pire, partager mes opinions à propos de tout et de rien.
Comme par exemple... Ce que je pense de ceux qui se fouillent dans le nez. Ou bien les chauffards imbéciles qui zigzagent en plein trafic matinal. Ou la couleur du timbre que madame Giroux a collé sur l'enveloppe destinée à son amant trois fois plus jeune qu'elle et ce que ça signifie vraiment.
Des trucs importants quoi!
Sur ce, je vous laisse à vos occupations, et je vais moi-même aller me coucher.
Pour vos oreilles, je vous conseille l'album qui m'a accompagné durant l'écriture de ce message (sans raison ésotérique, c'est juste que ça me tentait).
Erykah Badu – Baduizm
Friday, October 12, 2007
Saturday, October 6, 2007
J'ai trouvé Jésus...
Non mais... quelle entrée en matière, n'est-ce pas?
Je vous entends déjà, vous vous dites de deux choses l'une: Soit j'ai enfin vu la lumière, soit j'suis tombée sur la tête.
Du tout, rien de tout cela. J'ai véritablement trouvé Jésus. Littéralement. Et en plus, Il était gratuit.
Mais commençons par le commencement, si vous le voulez bien.
J'étais au Centre Laval...
Quoi? Ben là, y'a rien là, le Centre Laval... c'est pas SI pire!
Enfin... j'étais donc au Centre Laval, cet après-midi, pour une gentille promenade avec maman et son 4x4 (marchette à roulettes "allure tracteur" qu'il y a un p'tit banc pour quand on a les jambes fatiguées).
Au gré de la promenade, après un café et une pause-pipi, ne nous voilà-t-y pas en train de lécher les vitrines déjà très baveuses.
Mon œil, bien entraîné, accroche avec désir sur une chaussure en peau de kilt. Mignonne, mais pas assez quand on l'a vue de près. Derrière elle, une chaussure semblable à mon coup de cœur de l'été (qui justement commence à sentir la mort, si ce n'est le jus de pied).
"Intéressant", me dis-je.
Je traîne ma mère-à-roulettes dans la boutique, histoire de voir si y'aurait pas les sœurs jumelles de mes godasses fétiches, quand je LES vois...
Pas les jumelles... Mais bien les chaussures de toutes les chaussures, je suis amoureuse, j'ai chaud, je leur jette des regards séducteurs... m'ont-elles vues? Me désirent-elles autant que je les désire?
De petites ballerines, mignonnes, en toile rappelant les prisonniers casseurs de pierres... oui oui, celles-là même! Noires barrées blanches, ou blanches barrées noires (peu importe, c'est un peu l'équivalent du verre à moitié vide ou du verre à moitié plein... on s'en fout).
Devant moi, la pointure 6. Je la prends délicatement, la presse contre mon cœur en lui chuchotant que, même si je l'aime, je ne pourrais l'amener avec moi, c'est elle ou mes orteils (à qui je tiens quand même plus qu'à une chaussure nouvellement rencontrée).
Avec un espoir à peine retenu, je m'avance vers le commis. Comprenant ma douleur, il me propose derechef d'aller me chercher une pointure compatible avec les énormités qui me servent de pied.
"Vous avez des demi-points?" demandai-je respectueusement. "Sinon, je devrai vous demander de m'apporter un 8 et un 9."
Économe de son temps et de ses pas, le gentil commis demande à son ordinateur de lui indiquer la présence en ces lieux des trésors demandés.
"La paire la plus près se trouve à Calgary, madame. Vous voulez qu'on vous les réserve?" dit-il, affable.
J'allais répondre que oui, mais je me suis souvenu que Calgary, c'est loin, et que mes points AirMiles ne pouvaient m'amener plus loin que Toronto.
C'est avec tristesse que j'ai ramené la petite 6 vers son étal, non sans lui offrir un baiser d'adieu. Par chance que les larmes sèchent rapidement, le petit pied chanceux qui la portera ne souffrira d'aucun inconfort suite à mon déversement d'émotions.
Et Jésus dans tout ça?
J'y arrive...
Donc nous voilà, maman et moi, de retour dans la grande allée piétonnière, à tenter d'éviter les consommateurs pressés. Je pleure doucement, par en-dedans bien sûr, la luette tentant de survivre au déluge. Comme Caliméro, je ne cesse de crier que c'est trop injuste, que cette chaussure en peau de détenu était faite pour moi.
Tourneboulées par tant d'émotions, nous nous arrêtons pour une pause cigarette, dehors aux quatre vents, près d'un cendrier aux prises avec un incendie interne. Ça pu!
Sans que je puisse m'en douter, Jésus est à portée de main. Maman m'entraîne chez Wal-Mart, trouve du chocolat et du maïs soufflé, nous retournons aux caisses enregistreuses. Pas celles qui étaient à quelques pas, mais bien, sous mon insistance, à celles que nous avons croisées en entrant.
Arrivées à destination, j'ai choisi la ligne à prendre. Je ne me souviens plus du numéro, détail frivole.
Je la fais passer devant moi, je n'ai rien à acheter.
Attente interminable...
Mon œil est attiré par les friandises. Sur les friandises, c'est là que j'ai trouvé Jésus.
Vous ne me croyez pas?
Jésus m'attendait sagement, rangé dans un CD fait main... Nom évocateur: Le Retour de Jésus. Rien de moins. Jésus est revenu, et c'est à moi qu'il est apparu.
J'en conviens, ce n'est pas la forme sous laquelle on l'attendait... mais qu'importe. Après avoir vérifié qu'il ne comportait aucun code à barres (ce qui confirmait sa gratuité), je décide que Jésus viendra avec moi. Surtout après avoir lu à l'intérieur de la pochette (aussi faite main) qu'il y a sur le CD "l'armée céleste", "la trompette des anges" et "le son de vaisseaux spaciaux".
Mais c'était sans compter sur la jeune et gentille caissière.
Pour ne commettre aucun crime, je lui présente l'objet en lui signifiant l'avoir trouvé affalé dans les gommes. Sans une ni deux, elle prend Jésus et m'annonce que c'est bizarre (en effet, en y repensant bien, c'est un brin bizarre).
Mais non, je ne pouvais me résoudre à laisser ma trouvaille entre ses mains. Je lui dis que je l'ai trouvé, que si ce n'est pas à eux je dois le garder. Elle me le rends, mais semble si triste que je lui annonce que je lui en ferai une copie.
Elle sourit... tout va bien... pendant une minute, j'étais certaine que j'aurais eu à reprendre mon trésor par la force. Ça aurait pû être un long combat, une chance que maman avait son 4x4-à-roulettes-avec-une-chaise histoire de se reposer un peu entre chaque round.
Et voilà, j'avais trouvé Jésus (qui n'est finalement qu'un bout de clavier en boucle pendant de longues minutes... Jésus ne dit rien, bout d'viarge!)
Et non.... ce n'est pas la fin de l'histoire... sinon, quel serait le lien avec la première partie? J'ai quand même un but à mon interminable anecdote!
Nous voilà maintenant sorties du Wal-Mart, avec Jésus dans la sacoche, et nous contemplons l'idée de retourner d'où l'on vient. Mais encore une fois, mon œil est attiré par un éclat noir et blanc, dans une autre vitrine aussi baveuse que la première.
Je me précipite, avec maman derrière qui fait squik-squik... fausse alerte, c'est un motif genre pied-de-poule qui m'a fait de l'œil, sans aucune vergogne.
Mais, derrière le pied-de-poule, je l'aperçois, la peau de (vieux) détenu, noire et grise.... sans vouloir oublier mon amour furtif, je jette tout de même un regard et elles sont là, à m'attendre, ballerines, pointure 8 et tout le tralala...
Je les essaies, la main déjà sur le portefeuille, c'en est fait de moi...
La blessure s'est refermée...
Et vous savez quoi? Je crois que c'est Jésus qui me les a envoyées afin de me remercier de l'avoir sorti de son enfer de sucre.
Sur cette note, je vous dis, à la prochaine aventure!!!
Tout ceci fut perpétré sous l'influence de St. Germain, Tourist... c'est certainement l'affaire la plus "sainte" que j'ai...
Je vous entends déjà, vous vous dites de deux choses l'une: Soit j'ai enfin vu la lumière, soit j'suis tombée sur la tête.
Du tout, rien de tout cela. J'ai véritablement trouvé Jésus. Littéralement. Et en plus, Il était gratuit.
Mais commençons par le commencement, si vous le voulez bien.
J'étais au Centre Laval...
Quoi? Ben là, y'a rien là, le Centre Laval... c'est pas SI pire!
Enfin... j'étais donc au Centre Laval, cet après-midi, pour une gentille promenade avec maman et son 4x4 (marchette à roulettes "allure tracteur" qu'il y a un p'tit banc pour quand on a les jambes fatiguées).
Au gré de la promenade, après un café et une pause-pipi, ne nous voilà-t-y pas en train de lécher les vitrines déjà très baveuses.
Mon œil, bien entraîné, accroche avec désir sur une chaussure en peau de kilt. Mignonne, mais pas assez quand on l'a vue de près. Derrière elle, une chaussure semblable à mon coup de cœur de l'été (qui justement commence à sentir la mort, si ce n'est le jus de pied).
"Intéressant", me dis-je.
Je traîne ma mère-à-roulettes dans la boutique, histoire de voir si y'aurait pas les sœurs jumelles de mes godasses fétiches, quand je LES vois...
Pas les jumelles... Mais bien les chaussures de toutes les chaussures, je suis amoureuse, j'ai chaud, je leur jette des regards séducteurs... m'ont-elles vues? Me désirent-elles autant que je les désire?
De petites ballerines, mignonnes, en toile rappelant les prisonniers casseurs de pierres... oui oui, celles-là même! Noires barrées blanches, ou blanches barrées noires (peu importe, c'est un peu l'équivalent du verre à moitié vide ou du verre à moitié plein... on s'en fout).
Devant moi, la pointure 6. Je la prends délicatement, la presse contre mon cœur en lui chuchotant que, même si je l'aime, je ne pourrais l'amener avec moi, c'est elle ou mes orteils (à qui je tiens quand même plus qu'à une chaussure nouvellement rencontrée).
Avec un espoir à peine retenu, je m'avance vers le commis. Comprenant ma douleur, il me propose derechef d'aller me chercher une pointure compatible avec les énormités qui me servent de pied.
"Vous avez des demi-points?" demandai-je respectueusement. "Sinon, je devrai vous demander de m'apporter un 8 et un 9."
Économe de son temps et de ses pas, le gentil commis demande à son ordinateur de lui indiquer la présence en ces lieux des trésors demandés.
"La paire la plus près se trouve à Calgary, madame. Vous voulez qu'on vous les réserve?" dit-il, affable.
J'allais répondre que oui, mais je me suis souvenu que Calgary, c'est loin, et que mes points AirMiles ne pouvaient m'amener plus loin que Toronto.
C'est avec tristesse que j'ai ramené la petite 6 vers son étal, non sans lui offrir un baiser d'adieu. Par chance que les larmes sèchent rapidement, le petit pied chanceux qui la portera ne souffrira d'aucun inconfort suite à mon déversement d'émotions.
Et Jésus dans tout ça?
J'y arrive...
Donc nous voilà, maman et moi, de retour dans la grande allée piétonnière, à tenter d'éviter les consommateurs pressés. Je pleure doucement, par en-dedans bien sûr, la luette tentant de survivre au déluge. Comme Caliméro, je ne cesse de crier que c'est trop injuste, que cette chaussure en peau de détenu était faite pour moi.
Tourneboulées par tant d'émotions, nous nous arrêtons pour une pause cigarette, dehors aux quatre vents, près d'un cendrier aux prises avec un incendie interne. Ça pu!
Sans que je puisse m'en douter, Jésus est à portée de main. Maman m'entraîne chez Wal-Mart, trouve du chocolat et du maïs soufflé, nous retournons aux caisses enregistreuses. Pas celles qui étaient à quelques pas, mais bien, sous mon insistance, à celles que nous avons croisées en entrant.
Arrivées à destination, j'ai choisi la ligne à prendre. Je ne me souviens plus du numéro, détail frivole.
Je la fais passer devant moi, je n'ai rien à acheter.
Attente interminable...
Mon œil est attiré par les friandises. Sur les friandises, c'est là que j'ai trouvé Jésus.
Vous ne me croyez pas?
Jésus m'attendait sagement, rangé dans un CD fait main... Nom évocateur: Le Retour de Jésus. Rien de moins. Jésus est revenu, et c'est à moi qu'il est apparu.
J'en conviens, ce n'est pas la forme sous laquelle on l'attendait... mais qu'importe. Après avoir vérifié qu'il ne comportait aucun code à barres (ce qui confirmait sa gratuité), je décide que Jésus viendra avec moi. Surtout après avoir lu à l'intérieur de la pochette (aussi faite main) qu'il y a sur le CD "l'armée céleste", "la trompette des anges" et "le son de vaisseaux spaciaux".
Mais c'était sans compter sur la jeune et gentille caissière.
Pour ne commettre aucun crime, je lui présente l'objet en lui signifiant l'avoir trouvé affalé dans les gommes. Sans une ni deux, elle prend Jésus et m'annonce que c'est bizarre (en effet, en y repensant bien, c'est un brin bizarre).
Mais non, je ne pouvais me résoudre à laisser ma trouvaille entre ses mains. Je lui dis que je l'ai trouvé, que si ce n'est pas à eux je dois le garder. Elle me le rends, mais semble si triste que je lui annonce que je lui en ferai une copie.
Elle sourit... tout va bien... pendant une minute, j'étais certaine que j'aurais eu à reprendre mon trésor par la force. Ça aurait pû être un long combat, une chance que maman avait son 4x4-à-roulettes-avec-une-chaise histoire de se reposer un peu entre chaque round.
Et voilà, j'avais trouvé Jésus (qui n'est finalement qu'un bout de clavier en boucle pendant de longues minutes... Jésus ne dit rien, bout d'viarge!)
Et non.... ce n'est pas la fin de l'histoire... sinon, quel serait le lien avec la première partie? J'ai quand même un but à mon interminable anecdote!
Nous voilà maintenant sorties du Wal-Mart, avec Jésus dans la sacoche, et nous contemplons l'idée de retourner d'où l'on vient. Mais encore une fois, mon œil est attiré par un éclat noir et blanc, dans une autre vitrine aussi baveuse que la première.
Je me précipite, avec maman derrière qui fait squik-squik... fausse alerte, c'est un motif genre pied-de-poule qui m'a fait de l'œil, sans aucune vergogne.
Mais, derrière le pied-de-poule, je l'aperçois, la peau de (vieux) détenu, noire et grise.... sans vouloir oublier mon amour furtif, je jette tout de même un regard et elles sont là, à m'attendre, ballerines, pointure 8 et tout le tralala...
Je les essaies, la main déjà sur le portefeuille, c'en est fait de moi...
La blessure s'est refermée...
Et vous savez quoi? Je crois que c'est Jésus qui me les a envoyées afin de me remercier de l'avoir sorti de son enfer de sucre.
Sur cette note, je vous dis, à la prochaine aventure!!!
Tout ceci fut perpétré sous l'influence de St. Germain, Tourist... c'est certainement l'affaire la plus "sainte" que j'ai...
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